jeudi 28 janvier 2010

Les syndicats changent les problèmes restent

Je réagis aujourd'hui par rapport aux propos de Stéphane Toutoundji dans sont blog: http://blog.stephane-toutoundji.com
Je suis d'accord avec lui sur le manque de discernements de certains viticulteurs qui aujourd'hui s'entrainent à trouver des défauts que le commun des mortels n'est pas capable de discerner.
Et comme ces viticulteurs sont les seuls à trouver ces défauts, qui sont de toute façon effectivement présents dans tous les vins à des degrés plus ou moins importants ils ne prennent pas de risque et écartent du marché des vins qui pourraient leur faire de l'ombre.

Je critique depuis plusieurs années déjà ces dégustations qui sont trop subjectives à mes yeux, mais qui sont surtout hypocrites. Les brettanomyces puisque ces d'elles que l'on parle sont détectables par des moyens physiques et elles sont quantifiables, alors foutons dehors ces pseudo viticulteurs incompétents qui ennuient (pour ne pas utiliser un autre mot plus vulgaire) les vrais professionnels en leur créant de faux problèmes. Et pendant que l'on cherche à se justifier, les anglo-saxons vendent leurs mauvais vins à des prix dumptés puisqu'ils n'ont pas autant de contraintes que nous pour mettre leurs vins sur le marché.

Les syndicats se sont transformés en ODG, mais les problèmes restent. Depuis la création des ODG les cours du vin n'ont pas augmenté, mais les contraintes si..... Cherchez l'erreur.

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lundi 11 janvier 2010

Une bonne année 2010?

L'année 2009 a été bien mouvementée, les ODG se sont mises en place, les contrôles internes et externes ont commencé. Sur l'AOC Bordeaux et Bordeaux Supérieur 80% des exploitations sanctionnées l'on été pour des problèmes administratifs, ce qui confirme les propos de mon blog; le vin devient de plus en plus virtuel et de moins en moins réel.

Nous en avons l'exemple avec le millésime 2007 que les journalistes ont critiqué alors que le raisin n'était pas encore ramassé. Aujourd'hui personne ne veut de ce millésime (il n'est d'ailleurs même pas gouté) qui vaut largement un 2005 dans les exploitations où les vignerons travaillent leur vigne et sont à l'écoute du temps.

Heureusement que vous etes nombreux à refuser que l'on pense pour vous, et je vous remercie de la confiance que vous etes de plus en plus nombreux à nous accorder.





Je vous souhaite ainsi qu'à vos proches une bonne année 2010, bonheur, santé et réussite.

Votre dévoué producteur